Travail ennuyant? Pas si sure...

Cette journée commença comme toutes les autres auparavant. Reika se réveilla, alla se lever, s'habilla, pris un copieux petit déjeuner et partie au travail, a vélo. Une fois arrivée, elle se fit accueillir par son patron, M. Hirokabayashi. L'homme était âgé dans la soixantaine, cheveux court sel et poivre, mais en tout, très gentil et emphatique. Reika le salua de la main et alla ranger son vélo à l'arrière de la petite boutique. Une fois ceci fait, Reika entra par la porte arrière, mis son tablier et ses gants et ensuite, elle se diriga vers la porte d'entrée pour la déverrouillé. Étant la seule employée du petit magasin d'herbe, Reika avait la responsabilité du magasin, donc arrivé avant l'ouverture, préparé le magasin et ensuite l'ouvrir. Même si l'endroit était un peu mal placé, le magasin attirait beaucoup de clients, la plupart étant des habitués, Reika les connaissait tous et ils la connaissaient aussi. Bien sûr, Monsieur Hirokabayashi était présent dans son magasin, mais il restait souvent dans son bureau à l'arrière et il s'occupait des états financiers et des commandes de clients, que ce soit des herbes ou autre. Avec le temps, Reika avait développé un oeil d'enfer! Elle reconnaissait tout le monde qui entrait dans le magasin et lorsqu'une nouvelle personne arrivait dans le magasin, Reika était tout excitée, car elle aimait rencontrer d'autres personnes. Enfin, une fois la porte déverrouiller, Reika se retourna et alla placer les diverses herbes d'une commande qui étaient arrivées hier soir. Soudainement, Reika entendit la cloche de la porte d'entrée, car lorsque quelqu'un entrait, une petite cloche retentissait. Alors, lorsque Reika entendit la cloche, elle arrêta ce qu'elle fit, et, toute polie qu'elle est, acceuilla la personne.

- Bonjour et bienvenue chez Hirokabayashi.

Elle se pencha respectueusement pour saluer la nouvelle personne. Lorsqu'elle s'attarda à la dite personne, elle remarqua que c'était un jeune homme avec des yeux magnifiques. C'était une caractéristique qui était impressionnante chez le jeune homme. Bien sûr, Reika remarqua qu'il n'était jamais venu ici avant. Elle en étais sur a 100% car avec ces yeux, elle l'aurait surement remarqué s'il était déjà venu. Une fois sorti de sa stupeur, Reika se sentie un peu mal à l'aise de l'avoir fixé comme ça. Gênée, elle continua son accueil.

- Heu... Puis-je vous aider, monsieur?

En attendant la réponse, Reika lui sourit, mais elle était toujours gênée.

Ce jour-là, un jeune homme dormait toujours dans son lit de sa résidence. Il venait à peine de revenir d'une aventure assez bizarre, où il s'était retrouver à l'année de ses ancêtre. Bizarre, non? Dans cette endroit, il y avait fait une rencontre mémorable d'une jeune fille assez particulière. Après quelque minute, le jeune homme se réveilla en sursaut, du à son rêve habituelle, à propos de la mort de sa mère. Il regarda autour de lui et ne vit rien du tout, que du noir. Sa vision lui jouait encore des tours. Le jeune homme secoua la tête un peu, pour se rendre la vision. cela ne marcha qu'à moitié, donc il voyait, mais embrouiller. Il avait donc besoin de son médicament, que sa mère lui avait montrer à faire, alors seul lui savait comment maintenant. Mais il n'avait plus de l'herbe la plus importante du mélange, bien qu'il l'avait commander, alors il fallait qu'il aille en chercher. Il soupira, puis se leva en titubant de son lit. Gardant sa main sur son front, il alla vers sa commode, puis s'habilla comme à son habitude. Il alla ensuite à la salle de bain pour attacher ses cheveux comme toujours. Pour enfin partir de chez lui.

Ienzo marcha pendant un long bout, puisqu'il marchait tranquillement, pour ne pas foncer dans quelque chose ou quelqu'un. Qui malheureusement arriva tout de même, il fonça dans quelqu'un, et a en voir la taille de l'autre il ne fallait pas s'en prendre à lui. Le jeune homme s'excusa, puis continua sa route, sans aucun autre problème. Quand il arriva enfin au magasin d'herbe "Chez Hirokabayashi", il y entra se fichant de la clochette qui résonna au dessus de lui. Puis, une jeune fille s'approcha de lui, lui souhaitant la bienvenue. Il ne la voyait pas vraiment, alors il ne savait point qui elle était. Fichu vision embrouiller! Alors il ne remarqua pas qu'elle l'avait détaillé. Il secoua de nouveau la tête, puis sa vision lui reviens en même temps qu'elle lui demande si elle pouvait l'aider.

-Eum...oui, j'ai passer une commande il y a quelque jour...

Il ne se sentait pas très à l'aise dans cette endroit, il avait l'habitude de parler avec le patron qu'il connaissait depuis son jeune âge. Puisqu'il venait souvent avec sa mère avant.

Spoiler:

Lorsque le jeune homme lui dit qu'il venait chercher une commande, Reika devint perplexe. S'il avait passé une commande cela voulait dire qu'il était déjà venu avant.

* Peut-être que c'était Hirokabayashi-san qui l'a pris... Car je suis certaine de l'avoir jamais vu.. Eh bien... *
- Oh. Bien sûr. Quel est votre nom?

Avant que le jeune homme ne puisse répondre, Hirokabayashi ayant entendu la voix d'Ienzo, la reconnu et alla le voir affichant un grand sourire.

- Eh bien! Ienzo-kun! Haha, je te présente ma nouvelle employée, Reika Inukami. Reika, tu veux bien aller chercher sa commande? Le nom est: Ienzo Genkaku.
- Enchantée de te connaitre, Genkaku-san.

Après l'avoir salué de nouveau, Reika parti dans l'arrière boutique chercher la petite boite. Pendant ce temps, Hirokabayashi s'entretenait avec le jeune homme qu'il connaissait. Le vieil homme prit un air triste et très emphatique, il s'approcha d'Ienzo.

- J'ai su pour ta mère... Je suis vraiment désolé.

Il mit, affectueusement, sa main droite sur l'épaule d'Ienzo.

- Écoute, si jamais tu as besoin d'aide, fils, n'hésite pas à demander. Sache qu'il n'y a aucune honte a demandé de l'aide en temps de besoin.

Cette scène était vraiment touchante, on pouvait facilement sentir la fierté, l'amour et l'empathie émanant du vieil homme envers Ienzo. Reika avait vu et entendu la conversation, car elle se tenait sur le côté du cadre de porte qui menait vers l'arrière boutique, elle tenait la petite boite dans ses mains. Une fois la scène terminée, Reika se senti à l'aise de s'approcher. Arrivée à côté du vieil homme et en face d'Ienzo, elle tendit la petite boite au jeune homme avec un petit sourire. Reika n'avais jamais vue son patron aussi content et paisible. Alors que Hirokabayashi retourna vers son bureau, il s'adressa à Reika par-dessus son épaule lorsqu'elle lui demanda combien ceci coutait.

- Pour Ienzo, c'est gratuit. Souvient-toi s'en, petite Reika-chan.

Le ton de cette phrase n'était pas menaçant, au contraire, il était d'une douceur incroyable. Le vieil homme disparut dans son bureau en fermant la porte doucement. Reika, visiblement très mal à l'aise, essaya de briser l'atmosphère bizarre qui régnait.

- A-alors... Vous connaissez Hirokabayashi-san?

On sentait facilement le malaise dans la voix de la jeune fille.

Le jeune homme regardait toujours la jeune fille, quand elle lui demanda son nom.

-Eum...

Il allait lui répondre quand il entendit une voix familière. Alors il se retourna un peu vers Hirokabayashi, puis sourit un peu. Il le regarda un moment, avant de se retourner vers la jeune fille.

-Enchantée aussi Inukami-chan.

Il la regarda partir, puis après un moment se retourna vers le patron adressant toujours un petit sourire. Quand il lui parla de sa mère, le jeune homme baissa un peu la tête. Repensant à tout cela, elle lui manquait beaucoup, bien qu'il ne le démonterais pas. Quand il posa sa main sur son épaule, le jeune homme sursauta un peu.

-C'est pas grave, je dois continuer à vivre, pour elle. Non ce n'est pas la peine Hirokabayashi-san, je devrais réussir à m'occuper de moi-même, mais si j'ai besoin d'aide. Je vous ferais signe c'est sur.

Le jeune homme était tellement pris par sa conversation avec le vieil homme, qu'il n'avait pas remarquer que la jeune fille était revenu vers eux. Quand il la vit de nouveau, il sourie un peu, puis pris la petite boite qu'elle lui tendait. Au départ du vieil homme, Ienzo lui fit un signe de tête pour lui dire "bye" à sa façon. Puis, il secoua la tête, il n'avait pas besoin de lui donner cela gratuitement. Il pouvait lui payer avec l'argent que sa mère lui avait laissé. Mais bon il ne voulait qu'aider le jeune homme. Puis, Ienzo regarda la jeune fille, quand lui posa une question.

-Oui, je le connais depuis que je suis tout petit...

Il ne savait pas trop quoi dire d'autre que cela, n'étant plus habituer à parler à des gens. Sauf ceux qu'il connaissait depuis sa tendre enfance, du temps que sa mère était toujours à ses côté.

Reika fut surprise de savoir que le jeune homme et Hirokabayashi se connaissait depuis longtemps. Elle sourit a l'idée que maintenant elle en connaissait un peu plus sur le passé de son patron. Reika n'avais jamais osé questionner son patron sur son passé, car elle savait que si elle le faisait, Hirokabayashi-san ferait de même et Reika ne voulait pas parler de son propre passé... Mais, en regardant Ienzo, Reika remarquait qu'il rayonnait. Dans le sens, qu'il avait un charme qui déstabilisait la jeune Reika. Gênée et rougissant, elle détourna le regard de sur Ienzo vers la porte d'entrée où arrivait un client.

*Sauvée par la cloche!*

Reika rigola doucement de gêne et jeta un coup d'oeil subtil vers Ienzo avant de regarder à nouveau le client, mais elle resta devant Ienzo. Par contre, un petit incident troubla Reika... Lorsque le client ouvrit la porte, les rayons du soleil arrivèrent aux yeux de Reika. Ses yeux étant fait en miroir, ceux-ci reflétait les rayons du soleil, mais, vive d'esprit, Reika ferma les yeux et recula un peu pour s'éloigner des rayons. Reika sourit quand même pour ne pas laisser paraître sa gêné et son malaise, tout ce qu'elle espérait c'était qu'Ienzo ou le client n'est vu l'incident. Reika regarda Ienzo et lui fit un petit sourire gêné.

- Hum... Ça ne sera pas long... Re-restez ici d'accord?

Reika détourna encore une fois le regard des magnifique yeux d'Ienzo et alla aider le client qui cherchait une herbe et qui venait chercher sa commande. Reika alla chercher la grosse boîte, lourde, dans l'arrière boutique et essaya de l'amener vers le comptoir où il y avait la caisse enregistreuse. Reika transportait la grosse boite a bout de bras, la boite était à quelques centimètres du sol tellement elle était pesante. La jeune fille étais en bonne forme physique, mais cette boite était vraiment très pesante pour une petite fille du gabarit de Reika. Dans un dernier effort, elle essaya de soulever la boite pour la mettre sur le comptoir mais, Reika perdit l'équilibre et la boite lui tomba dessus!

- Ow ow ow ow... Au... secours?

La boite, que maintenant Reika maudissait, étais en train de l'écraser au sol.

Le jeune homme regardait toujours la jeune fille dresser devant lui. Bien qu'il n'avait plus vraiment aucune raison de rester là. Puisqu'il avait ce qu'il était venu chercher, il pouvait faire son médicament, pour ses yeux maintenant. Il entendit la clochette retentir, annonçant qu'un client était entrée. Cela coupa le silence embarrassant qu'il y avait entre les deux jeunes. Il regarda le client, qui venait d'entrer, puis se retourne vers la jeune fille. Juste au moment où les yeux de Reika refléta les rayons du soleil. Mais le jeune homme cru que cela n'était que du à son imagination ou alors ses yeux lui jouait des tours, une fois de plus. Puis, elle lui demanda de rester-là. Ce qu'il fit, sans trop savoir pourquoi. Peut-être, parce que son esprit lui disait qu'il ne lui arrivera rien même si tout tout ceux qui s'était approcher de lui. Ils leur étaient arriver malheur. Puis, tout-à-coup, il entendit un bruit sourd, puis quelqu'un demandant de l'aide.

Alors il se retourne vers où le bruit venait et vit Reika par terre avec une grosse boite sur elle. Il soupira, puis s'approcha d'elle, déposant sa petite boite dans son sac. Puis pris la boite, qui était sur elle, la levant sans trop d'effort.

-Je la pose où?

Il n'attendit pas qu'elle lui réponde, déposant la boite sur le comptoir. Puis, il regarda Reika.

-Pourquoi ne pas avoir demander de l'aide pour amener cette boite, trop lourde pour vous, à l'avant?

Il lui posa cette question, sans trop savoir pourquoi il l'avait fait.

Aussitôt qu'Ienzo avait enlevé la boite, Reika s'assit au sol et repris son souffle. Lorsqu'Ienzo lui posa LA question, elle rougit de honte. Reika était un peu orgueilleuse et n'avais pas voulu demander de l'aide, car elle croyait pouvoir le faire toute seule. En se relevant du sol, Reika s'épousseta et, toujours rouge de honte, regarda subtilement Ienzo et marcha sur son propre orgueil, car elle sentait qu'elle pouvait lui dire la vraie réponse et pas employer une excuse bidon.

- Je... Je croyais être assez forte pour la lever moi-même... Mais merci, pour ton...

Reika se reprit, car elle venait de tutoyer le jeune homme.

- Oops, votre aide.

En temps normal, elle l'aurait surement tutoyé mais, il était un client et elle ne le connaissait pas beaucoup, alors, le tutoyer dans ses circonstances étaient déplacées, enfin, pour Reika, c'était déplacé. Elle avait été quand même bien élever et Ienzo semblait plus vieux qu'elle donc, il était impératif qu'elle lui montre du respect.

Une fois tout l'incident passé, le client s'approcha du comptoir, il avait l'air furieux. Il paya pour sa boite et la petite herbe. Il prit la boite d'une main et la mit sur son épaule et se diriga vers la porte. Avant de franchir celle-ci, il tourna la tête vers Reika qui le regardait. Le regard de l'homme était menaçant et plein de haine.

- Tu es bien une Inukami! Une incapable qui ne se préoccupe de personne! Ta famille a bien fait de se tuer, mais ils auraient dû t'emmener avec eux! Tout ce que j'espère c'est que tu connaisses le même sort, sorcière aux yeux de démon!

Reika regarda l'homme, la jeune fille étais paralysée par la douleur du souvenir... L'homme disparut aussi vite qu'il était arrivé et lorsqu'il claqua la porte, la jeune fille fondit en larmes. Elle se couvrait le visage avec ses mains, ne sachant pas quoi faire, Reika, encore sous le choc, s'avança vers Ienzo et l'enlaça. Dans ce genre de situation, une personne perd souvent le contrôle de ses moyens... Et lorsque l'homme lui rappela l'évènement qu'elle voulait à tout prix oublier, Reika avait besoin de quelqu'un pour la consoler. Comble de l'ironie, cette tâche tomba sur le jeune Ienzo.

Dans son bureau, Hirokabayashi avait entendu la porte claquer, inquiet, il se leva, quitta son bureau et alla à l'avant. La scène qu'il vit le laissa sans mots.

- Reika-chan? Ienzo-kun? Que c'est-il passé?

La jeune fille étais incapable de parler tellement elle pleurait. Elle était littéralement collée à Ienzo et elle n'avait pas l'air de vouloir le lâcher de si tôt!

Le jeune homme regardait toujours la jeune fille en attendant la réponse qu'elle allait lui donner, face à sa question. Quand elle lui répondit, il sourie un peu, puisqu'il comprenais parfaitement la jeune fille. Il aurait fait la même chose, mais lui ce n'était pas pareil, il voulait à tout prix ce surpasser sur beaucoup de domaine. Elle alla pour le tutoyer, ce qui fit rire un peu le jeune homme, surtout qu'elle savait repris toute de suite après. Il sourit un peu avant de répondre.

-De rien, ma chère.

Puis, la regarda aller faire payer l'autre homme qui avait l'air furieux. Ienzo voulu lui parler à l'homme, mais il paya rapidement, pris sa boite et dit quelque chose de blessant à la jeune fille. Le jeune homme serra les poings voulant aller casser la figure de l'homme qui venait d'oser dire cela. Mais il ne peut point, puisque la jeune fille viens se coller à lui, subitement. Elle pleurait, ce qui était un point faible du jeune homme, une femme qui pleure. Du au fois que sa mère avait pleurer devant lui. Il la serra donc contre lui, lui murmurant des mots doux et gentil à son oreille.

Puis, le patron revenu voir ce qu'il se passait. Pour ne voir que Reika blotti dans les bras du jeune homme. Ienzo regarde le vieil homme avant de lui répondre.

-Le client qui viens à peine de partir à dit quelque chose qui a choquer Inukami-chan, j'ai pas tout compris.

Spoiler:

Reika toujours blottie contre Ienzo, se calma un peu lorsqu'elle entendit Ienzo la rassurer. Bien sûre, elle pleurait encore mais c'était beaucoup moins pire. La jeune fille en voulais à l'homme mais, dans un sens, il avait raison... Lorsque son patron apparu, Reika, encore et toujours blottie contre Ienzo, la jeune fille regarda le vieil homme, ses yeux rouges tellement elle avait pleuré. Reika allait répondre à son patron, mais Ienzo le fit avant elle.

- Qu'est-ce qu'il a dit??

Restant collée au jeune homme, Reika, le visage enfouie dans le cou d'Ienzo, raconta doucement ce qui c'étais passé.

- L'homme m'a insulter... Il m'a traité de "sorcière"... et il a parlé du drame de ma famille... Moi qui pensait qu'en m'enfuyant de ma ville natale, le monde oublierait cette histoire... J'avais tort...

Reika prit une pause et regarda Ienzo lorsqu'il prononça son nom de famille. D'une voix douce, mais extrêmement triste, elle lui répondit...

- Je sais que ce n'est que politesse mais... Appelle-moi Reika... Le nom des "Inukami" est maudit...

Après avoir fini sa phrase, Reika remit son visage dans le cou d'Ienzo. Elle s'agrippait aux vêtements du jeune homme.

- Je vois... Alors, tu es de "cette" famille... Les Inukami d'Okinawa. Comme plusieurs personnes j'ai déjà entendu cette histoire... Je ne croyais pas qu'elle était vraie, par contre...

Hirokabayashi s'approcha du jeune couple et parla à l'intention de Reika qui lui était de dos.

- Sache, jeune Reika, que, cela ne me dérange pas. Peu importe ton passé, tu resteras toujours la petite Reika-chan que j'ai prit sous mon aile depuis quelques temps.

Cette phrase émut tellement Reika, qu'elle se remit a pleuré a grosses larmes. La jeune fille se blottie encore plus contre Ienzo. Bien sûre, cette situation embarrassait Reika mais, Ienzo lui semblait être très sympathique et surtout assez empathique sinon ça aurait fait longtemps qu'il aurait envoyé valser Reika! Toujours blottie dans son cou, Reika murmura a Ienzo...

- Si tu veux savoir l'histoire... Demande-le moi et je te la raconterais...

Soudainement, le patron de Reika regarda les deux adolescents enlacer. Il sourit et dit, avec un ton tout mielleux...

- Vous formez un beau petit couple.

Reika, toujours contre Ienzo, sursauta doucement et se mit a rougir comme une tomate.

Le jeune homme ne savait plus trop quoi faire ou dire. Puisque la jeune fille était toujours blotti contre lui, tout ce qu'il pouvait faire était d'essayer de la calmer. Bien qu'il ne sache pas trop comment si prendre. Puisque sa fessait longtemps qu'il n'avait pas laisser quelqu'un s'approcher autant de lui. Cause des malheur qui était tomber sur les autres. Il écouta Reika et Hirokabayashi parler, sans rien ajouter. Tout simplement parce qu'il ne savait pas quoi dire, cela n'était pas son point fort, la discutions. Habituellement, il restait dans son coin à ne rien dire. Puis, Reika lui adressa la parole lui disant qu'elle préférait qu'il l'appel par son prénom. Alors, il hocha sa tête, signe qu'il avait compris.

Puis, une fois de plus il écouta la discutions, sans rien dire. Jusqu'à ce que la jeune fille lui mumure une phrase à l'oreille, toujours aussi bien blotti contre lui. Il avait toujours ses bras autour d'elle, bien qu'il ne sentait pas à l'aise ainsi. Surtout qu'il aimait déjà une personne, enfin il croyait l'aimer. L'autre jeune fille, celle qu'il croit aimer, l'intriguait au plus au point. Mais les yeux de Reika l'intriguait aussi. Comment pouvait-il aimer deux filles à la fois? Surtout qu'il ne les connaissaient pas encore assez, pour appeler ca de l'amour...Alors, il hocha de nouveau la tête, après la phrase de Reika, disant qu'il avait compris.

Quand le patron dit qu'ils formaient un beau couple, Ienzo rougit un peu, en lâchant la jeune fille. Puis, il regarda le vieil homme...ne sachant pas quoi dire, il ne dit rien. Il était vraiment embarrassé, par cela. Surtout qu'il ne voulait pas qu'il arrive malheur à cette jeune fille, à cause de lui. Puis, pour enlevé le malaise, qu'il y avait entre les deux. Le jeune homme reprit la parole.

-Je voudrais bien savoir ton histoire Reika-chan...Si vous voulez bien sur.

Reika regrettait presque aussitôt avoir dit à Ienzo que s'il voulait savoir son histoire, qu'elle allait la lui raconter. Lorsque Ienzo la lâcha, Reika en profita pour reculer un peu. La jeune fille soupira profondément et baissa le regard vers le sol. Alors qu'elle allait pour lui raconter son histoire, Hirokabayashi l'interrompis en posant sa main sur son épaule. Il lui dit avec un ton typiquement "Hirokabayashi", un ton très doux.

- Je vais fermer le magasin aujourd'hui Reika-chan...

Reika ne croyait pas son patron et le visage de la jeune fille le montrait. Elle tourna la tête vers le vieil homme et il rit lorsqu'il vit le visage de Reika.

- Vous, vous êtes sérieux, Hirokabayashi-san? Ma-mais... vos clients...
- Ils savent comment entrer en contact avec moi, ne t'en fais pas.
- O..ok...
- Tu serais plus à l'aise de lui dire ce qu'il veut savoir si vous allez chez vous, non?

Reika détourna le regard et se mit a rougir.

* Pourquoi chez moi? Eh? Je le connais à peine... *
- Heu... pe-peut-être...

Reika en bégayait tellement elle était nerveuse. Le vieil homme s'en rendit compte et tourna la situation en humour.

- Reika, je t'ai demandé de lui raconter ton histoire et non de coucher avec lui! Hahahahaha!

Reika devient encore plus rouge, dans le style, "une tomate serait jalouse"! La jeune fille savait que son patron était du genre comique lors de situation de malaise. Reika savait que si elle et Ienzo ne partait pas vite, le vieil homme continuerai à la faire rougir. Elle s'avança à nouveau vers Ienzo et lui prit la main, sans lui demander son avis elle l'entraîna à l'extérieur du magasin, juste dehors devant la porte d'entrée.

- Je suis désolée de vous avoir trainer comme ça... C'est juste qu'il n'aurait pas arrêté ses remarques... gênante...

Reika remarqua aussitôt qu'elle tenait encore la main d'Ienzo, elle rougit un peu et la lâcha doucement. La jeune fille leva les yeux vers le ciel, c'était très nuageux et il commençais à pleuvoir.

- Oh...

Reika regarda vers l'arrière du magasin, sa bicyclette y était toujours. La jeune fille haussa les épaules.

- J'irais chez moi a...

Reika n'eut pas le temps de finir sa phrase que la fine pluie se transforma en déluge! Le quartier où étais le magasin et celui où Reika habitait étais célèbre pour leurs averses diluviennes.

- ...pied.

En moins de quelques secondes, les deux adolescents étaient mouillés de la tête aux pieds. Toujours sous cette pluie battante, Reika regarda vers l'intérieur du magasin et elle ne croyait pas ce qu'elle voyait! Son patron qui riait a en pleuré! Visiblement il trouvait la situation très drôle. Reika détourna le regard, elle était faché! Mais, elle prit une grande respiration pleine d'eau et regarda Ienzo du coin de l'oeil.

- Qui habite le plus proche? Vous ou moi?

Elle avait dit cette phrase, car elle devait visiblement se changer... En attendant la réponse d'Ienzo, Reika regarda sa chemise blanche qui était mouillée et lui collait à la peau.

* Une chance que je porte un tablier bleu sinon... Il aurait eu une belle vue... *

Rigolant doucement, elle regardait le jeune homme mouillé.

Le jeune homme regardait toujours la jeune fille, restant silencieux une fois de plus. Puis, il regarda le vieil homme quand il parla. Il n'en crut pas ses oreilles, il allait fermer le magasin pour une journée complète. Il n'avait jamais fait cela auparavant. Du moins pas à la connaissance ou souvenir du jeune homme. Ienzo retourna son regard vers la jeune fille juste au moment où Hikobayashi dise sa petite "blague" qui fit rougir celle-ci, mais aussi lui-même. Comment avait-il osé dire ça? Il savait très bien qu'Ienzo n'était pas comme cela. Les deux venaient à peine de se rencontrer et après ce qui était arriver à son ex-petite amie, le jeune homme savait juré de ne plus tomber amoureux de personne, plus jamais. Fini pour lui c'est histoire! Puis, la jeune fille le tira à l'extérieur, il se laissa faire, ne pouvant pas vraiment faire grand chose, sauf que la suivre. Elle lui dit qu'elle était désolée de l'avoir trainé ainsi, amis il ne fit qu'hocher la tête disant qu'il avait compris. Puis, elle lâcha sa main.

-C'est correct. Je sais comment il est ce vieux fripon. Lui répondit-il en rigolant un peu.

Le jeune homme remarqua qu'il commençait à pleuvoir, mais il s'en fichait. Bien qu'aujourd'hui il portait un chandail blanc. Mais ce n'était pas comme s'il était une fille non? Puis, la pluie se transforma en déluge. Géniale! Comme s'il avait de besoin de cela! Il se devait de rentrer au plus vite. Reika lui posa une question à laquelle il s'attendait, un peu, en ce moment précis.

-J'habite à environ dix minute d'ici, ça vous conviens?

Puis, il regarda son chandail qui commençais à lui coller au torse et que l'on pouvait voir sa musculation. Il se devait de se changer et au plus vite. Sinon, elle pourrait voir les cicatrices que son père lui avait laissé en l'entrainant et la journée où il l'avait découvert entrain de battre sa mère. Souvenir douloureux pour lui. Il ne prit pas le temps d'attendre qu'elle lui réponde, puis il partit dans la direction de sa maison, espérant qu'elle allait le suivre. Passant sa main dans ses cheveux trempé, il regarda derrière lui.

-Alors tu viens ou pas?

Spoiler:

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Lorsque Ienzo lui dit qu'il n'habitait qu'à 10 minutes, Reika se dit qu'elle était plus proche de chez que de chez elle. Elle ne venait pas en bicyclette pour rien, elle habitait a environ 30 minutes du magasin. La jeune fille remarqua assez vite les effets de la pluie sur Ienzo, surtout qu'il portait un chandail blanc qui devenait de plus en plus mouillé, donc plus transparent a chaque seconde qui passait!! Reika rougit et cru remarquer quelque chose sous le chandail d'Ienzo, sa ressemblait à des cicatrices, mais Ienzo c'était tourné tellement vite que Reika cru avoir imaginé ça. Elle n'en fit pas une grande histoire. Lorsque Ienzo lui demanda s'il s'en venait, Reika sursauta doucement et couru après le jeune homme. Une fois à côté de lui, elle lui tint la main doucement.

- Je crois que je vais te-- oops... vous suivre. Puisque vous vivez plus proche.

Alors, voilà, doucement, mais se hâtant un peu à cause de la pluie, Reika suivi Ienzo jusque chez lui.

[SUJET TERMINER. LA SUITE A: La maison d'Ienzo.]

» Travail... TT__TT