Rencontre innatendue [Pv Aïdo]

Depuis quelques temps, je cherchais quelqu'un ou quelque part qui pourrait m'aider. En effet, voir les auras des gens et parfois arriver a les traquer, ce n'est pas donné a tout le monde. Et c'est effrayant aussi. J'écoutais beaucoup les ragots a l'école, pour voir si j'entendrais pas quelque chose d'intéressant. Je ne fus pas déçut de cette idée. En effet, j'avais entendu du magasin qui vendait des choses étranges et offrait des services sortant du commun. Le genre d'endroit que je cherchais justement. Cela me pris par contre une longue semaine me renseigner discrètement sur le lieu. Après tout, si Aoko apprenait ma recherche, je recevrais un savon ET elle se moquerait de moi. Pas question.

Finalement, je sus où aller et un samedi, j'y allais. Il faisait chaud et agréablement frais. Sentant passer dans mes cheveux, je soupirai de bonheur avant d'arriver devant le magasin. Étrange lieu, mais qu'est-ce-qui n'était pas étrange avec moi? Lisant l'enseigne, m'assurant que j'étais arrivée a la bonne endroit, je respirais un coup avant de rentrer, entendant le bruit du carillon sonnant a mon entrée.

*Quel étrange endroit...*

J'observais autour de moi, voyant des objets anciens autant que plus récents, mais parfois, mon œil accrochait sur des objets dont un semblant d'aura se dégageait. Des objets magiques? Vivants? Je ne pouvais même pas y penser. Secouant la tête, je tourna ma tête vers le comptoir avant de reporter mon regard sur le stock présent.

*Curieux, tout ses objets... A croire que certains me sont familiers! De plus, sentir des auras provenant de certains... Non, je dois me faire des idées! Et l'odeur ici... Des vieux livres, pas vraiment de la poussière, non, plutôt de l'âge, de l'expérience et surtout de... magie? La magie, cela a une odeur?*

-Bonjour... Il y a quelqu'un?

Ce jour la Aïdo était de travail encore une fois dans le magasin du grand père Kiango qui allait et venait entre les client et les autres occupation pendant qu'il laissait le magasin à la charge de son petit fils. En ce moment Aïdo s'occupait du ménage de la boutique, il passait le balais tranquillement dans la pièce en prenant soin de ranger un peu les article dans les rangé de manière soignée et professionnelle. Il aimait son travail, malgré le ait qu'il n'avait jamais eu une scolarité très clair et longue, Aïdo était cultivé et intelligent. Il avait quelque crise avec son grand père qui avait un comportement parfois difficile à gérer mais il ne s'en lassait pas, c'était son train-train à lui. Le vieille homme n'était toujours pas rentré, ce qui agaçait Aïdo qui trouvait les absence de Kiango un peut trop répété.

Il termina finalement de faire le ménage dans la pièce et s'occupa à présent des compte s'assurant que tout les comptes était bon, jusque la, les caisses étaient normalement remplis, Akito le collègue d'Aïdo était un honnête homme à qui il pouvait faire confiance. Tandis qu'Aïdo coulait une vie paisible, Ankan lui, profondément encré dans l'âme du jeune homme, brûlait d'un profond désir de destruction, malgré sa mort passé et ses nombreux milliers d'années d'errance et à présent de captivité dans le corps d'un jeune homme, sa cruauté ne s'était pas amoindrie elle, lui qui avait été le plus grand seigneur du chaos de son époque, bien avant l’ère edo et l'ère médiévale, fut l'époque de l’empire et du chaos, bien qu'elle fut oublié aujourd'hui et ou de terrible bataille entre l'empire et le chaos on eu lieu, mais aujourd'hui cette époque est totalement révolue, la puissance du chaos est toujours la, mais ses armé ne sont plus de ce monde.

- Pffff, la journée est encore une fois lonnnnngue. Et ennuyeuse.

il est vrais que les journée sans clients pouvaient être reposante mais aussi particulièrement vide, Aïdo décida donc de laisser sans surveillance un instant le comptoir et allât manger quelque chose dans les cuisines afin de grailler un petit morceau pour s'occuper quelque minute, de toute manière si quelqu'un venait dans le magasin il l'entendrait ou bien Akito l’appellerais. Pendant une bonne demie-heures Aïdo put se reposer un moment, jusqu'à ce que des bruits de pas se fasse entendre sur le planché du magasin, puis une petite voix timide appela quelqu'un du magasin, Aïdo se releva de son transat dans le jardin, se remit un peut en état et allat donc au comptoir pour voir une petite demoiselle plutôt timide à première vus, il lança toujours de son sourire aussi agréable et sincère, son collier autour de son cou, qui ne pouvait pas en être arraché, celui-ci refusait de quitter le cou de son porteur.

- bonjour mademoiselle, soyez la bienvenue au magasin "Cher Kiango", le propriétaire Kiango Asanare est mon grand père, je suis Aïdo Asanare, le patron n'est pas la pour l'instant... Comme à de trop nombreuse habitude je trouve, que puis-je faire pour vous? Un article spéciale, ou venez vous cherchez au hasard

- Bonjour mademoiselle, soyez la bienvenue au magasin "Cher Kiango", le propriétaire Kiango Asanare est mon grand père, je suis Aïdo Asanare, le patron n'est pas la pour l'instant... Comme à de trop nombreuse habitude je trouve, que puis-je faire pour vous? Un article spéciale, ou venez vous cherchez au hasard?

-Bonjour, je m'appelle Carlie Yumë... Je chercherais de l'information en fait, plus que des objets en particulier... Je me demandais si vous auriez de l'information sur les mikos ou les... comment dire? Traqueurs d'aura est je crois le terme le plus approprié.

*Il est mignon! Kawaiiii! Mais... son aura est étrange. Comme s'il en contenait une deuxième aura dans la première, mais plus endormi, sans que son pouvoir soit totalement réveiller... et ses yeux deux couleur! Peut-être que cela est un indice...*

Je pris la peine de le détailler de la tête au pied, essayant d'éviter de loucher sur son aura si singulier. Décidément plus vieux que moi de quelques années a peine. Son sourire aussi était sincère et agréable. Pas nécessairement joyeux, mais agréable. Me rappelant d'une certaine façon le sourire de Marcus... Non, oublie! Changeant mes idées, en passant la main dans mes cheveux délicatement, je me maudit encore une fois pour ma timidité. Cela m'arrivais en tout temps et cela me frustrais... Et voilà que je commençais a rougir! Argh!

Détournant le regard, je reporta mon attention sur une épée qui avait un aura. Super, encore mon pouvoir qui me jouais des tours! Je m'en approchais, évitant de penser a Aïdo pour ne pas me mettre a rougir encore plus. La timidité me faisais vraiment pas juste du bien. Observant de plus près l'épée, je me mis a sourire en sentant comme l'énergie qu'elle dégageait. Une énergie douce et calme, apaisante même. Un aura qui me faisais du plus grand bien, comparé a ceux de mon école. Ils étaient tellement rongés par la rage, la colère et leurs désires que leurs auras me donnaient parfois la nausée. Fait qui me dérangeais énormément. Mais là... C'était mieux. Beaucoup mieux.

-Cette épée... Elle a un nom?

Alors qu'il était enchaîne au fond de l'âme d'Aïdo, Ankan ressentit une perception dans l'énergie, il vit à travers les yeux du jeune homme, une jeune fille, très jeune même, elle détectait son aura comme ça, sans même faire d'effort, même s'il n'avait que trop peut de pouvoir pour l'instant, il était tout de même capable de quelque tour, et de ressentir ce qui se passait, son énergie maléfique, était empli d'un désir malsain et enragé, elle était rempli d'un désir de conquête et de mise à mort, le désir de se faire de nouveau remarquer des dieux noir qu'il vénère depuis l'aube du chaos, lui qui fut l'un des grand seigneur du chaos, le prophète du chaos même, il portait les étendard des dieux du chaos avec fierté et malveillance, sa cruauté en avait fait l'un des plus terrible seigneur chaotique.

Dans le monde physique Aïdo écoutait donc la jeune demoiselle, elle cherchait des articles sur les Miko ou les traqueuse d'aura, il devait surement avoir en magasin, la boutique avait pour but de trouver ce genre d'objet, afin que les gents puissent s'en instruire ou bien pour les adepte de ce genre d'objets. Aïdo quand à lui n'était pas un adepte des objet ancien ou magique, mais il s'y intéressait quand même, il trouvait cela étrange et attirant à la fois, même si cependant certain de ses objets l'inquiétait quand même un peut, ce n’était pas très net tout ça quand même, certain objet semblait ne pas trop l'apprécier, étrange que des objets puissent avoir des préférence envers certaine personne, cela voudrais dire que certains objets peuvent avoir une conscience, ce qui est une chose absolument impossible à croire pour les gents incrédule de dehors, mais Aïdo ayant vécu avec son grand père depuis quelque années, avait comprit que certaine choses dépassaient l'entendement du commun des mortels.

- Cette épée, ha oui la blanche et bleu cyan... Oui je crois que celons mon grand père elle porte le nom d'Akaïgiri, elle aurait appartenu à une femme guerrière d'avant même l'ère édo, elle aurait appartenu à un âge dont on ne sait absolument rien. Personnellement je garde mes distance avec cette épée, elle semble ne pas trop m'apprécier.

Aïdo réalisait qu'il venait de dire quelque chose qui pourrait paraître totalement anormale pour quelqu'un qui n'est pas du milieu, il préféra donc tenter d'expliquer à la jeune fille comment les objets conscient fonctionnait, même si il sait que la plupart des gents prennent cela pour des croyances stupide sans fondement.

- En fait , il est rare d'en trouver aujourd'hui, mais il existe des objets qui semblent posséder une conscience propre, et donc tente de faire passer aux gents qui savent les entendre, leur émotion et leur avis. Et justement, cette épée n'a jamais semblé m'apprécier, je n'ai jamais compris pourquoi.

- Cette épée, ha oui la blanche et bleu cyan... Oui je crois que celons mon grand père elle porte le nom d'Akaïgiri, elle aurait appartenu à une femme guerrière d'avant même l'ère édo, elle aurait appartenu à un âge dont on ne sait absolument rien. Personnellement je garde mes distance avec cette épée, elle semble ne pas trop m'apprécier.

Je souris a son commentaire. En effet, plus il s'approchait et plus l'aura de l'épée devenait comme colérique... Si c'était colérique? Comment savoir les émotions avec les auras? Je l'ignorais toujours. De plus, je sentis son aura particulier s'approcher de moi dans mon dos. Bien.

- En fait , il est rare d'en trouver aujourd'hui, mais il existe des objets qui semblent posséder une conscience propre, et donc tente de faire passer aux gents qui savent les entendre, leur émotion et leur avis. Et justement, cette épée n'a jamais semblé m'apprécier, je n'ai jamais compris pourquoi.

-Je crois comprendre ton point de vue, Aïdo-kun. En passant, tu as... Oublie, j'allais dire quelque chose d'idiot...

J'avais passée a deux doigts de dire qu'il avait un bel aura! Qu'est-ce-qui me prenais bon sang?!? je rougis a nouveau et pris Akaïgiri dans mes mains, la soupesant distraitement. Légère mais pas trop et son manche semblait être moulé pour ma main. Quelle drôle de sensation... Me décidant a le dire, je parlais a voix basse, gênée un peu.

-Ce que je voulais dire tout à l'heure, c'est que tu as une belle aura. Unique, pure, mais belle. Je sais que tu dois trouver cela étrange mais...

Timidité 101: Dire quelque chose mais pas le finir! J'étais rouge tomate, car c'était la première fois que j'avouais a quelqu'un que je voyais les auras! Argh! Qu'est-ce-que je venais de faire?

Aïdo écoutait la jeune fille, elle semblait ne pas prendre les propos du jeune hommes pour des futilités sur la spiritualité, ça allait bien plus loin que dans le spiritisme bête et méchant que pratique tout le monde dans sa cuisine pour faire semblant de parler aux esprit dans le seul but de leur parler, les vraies technique pour parler aux esprits était totalement différente, en tout cas cher les Asanare elles n'étaient pas très impressionnante, bien qu'un peut déconcertante.

Aïdo fut un peu gêné du fait que que la jeune fille lui dise qu'il avait une belle âme, il comprit bien vite qu'elle voyait les aura, d'ou cette curiosité, elle était détectrice d'aura, il n'aurait jamais crus qu'il en rencontrerais si on le lui avait dit, en tout cas le jeune homme ne put s’empêcher de passer sa main derrière sa tête en souriant, les joues légèrement rougis de gène, même si on lui faisait souvent des compliments, il trouvait toujours cela embarrassant.

- Je te remercie, même si j'admet être un peu gêné... Je ne m'habitue jamais à être complimenté et pourtant tu n'es pas la première à le faire, enfin je suis très touché, ça me fait très plaisir, vous êtes une jeune fille très mignonne.

Aïdo regarda vers la porte voir si son grand père allait finir par arriver oui ou non, c'est qu'il devenait vraiment long à présent, cela devenait une éternité, il était partit en fin de mâtiné et il était déjà quatre heure de l'après midi que Kiango était toujours absent, Aïdo n'avait pas peur pour son ancien, il savait se défendre et avait une pèche infernal pour un homme de son âge, il était plus habile que bien des jeunes d'aujourd'hui.

- Pour ce qui est de cette épée, je vous avouerais que, malgré que je puisse vous paraître fou... Elle me parait familière, comme si je l'avait déjà vus... Avant. Ensuite ce n'est peut être qu'une idée.

Aïdo n'avait jamais à faire à cette épée dans le passé, mais Ankan lui oui, étant donné qu'il avait déjà affronté la femme qui avait autrefois utilisé cette lame contre lui, même s'il n'avait jamais été vaincu par cette femme, il avait tout de même blessé par celle-ci, jusqu'à ce qu'il finisse par lui donner la mort afin de se venger de cette blessure infligé, malgré la mort de cette femme, l'épée elle se souvint de lui, d'ou le fait qu'elle n'apprécie guère Aïdo qui était l'hôte insoupçonné du plus cruel seigneur chaotique, et encore aujourd'hui l'ère edo du japon passé, et malgré les millier d'années écoulé, aucun homme, aucun démon ni même hybride n'avait eu la cruauté d'Ankan, pas même Naraku n'eu été aussi malfaisant que lui.

*Ankan: Qui que soit cette enfant... Si jamais elle venait à se mettre en travers de ma route elle aurait bien des souffrance... Et si jamais elle venait à user de cette épée un jour contre moi, je lui ferais découvrir le désir de mourir plutôt que de finir enter mes griffes. Mon heures approche.*

- Je te remercie, même si j'admet être un peu gêné... Je ne m'habitue jamais à être complimenté et pourtant tu n'es pas la première à le faire, enfin je suis très touché, ça me fait très plaisir, vous êtes une jeune fille très mignonne.

-Aïdo-kun, pas besoin de me vouvoyer... Certes, on se connait a peine, mais me vouvoyer me... rappel des souvenirs peu souhaitable. Et cela me fait sentir trop vieille pour mon âge!

Je me retournais pour le regarder et voyant le rouge a ses joues, je ne pus m'empêcher de craquer...

*Kawaiiiiii! Il est trop craquant quand il rougit!*

Réalisant mes pensées, je me repris en main, mais ne pus m'empêcher de rougir. Ah, timide un jour, timide toujours... Secouant la tête, je me concentrais sur ce qu'il disait par la suite. Après tout, cela pouvait être important...

- Pour ce qui est de cette épée, je vous avouerais que, malgré que je puisse vous paraître fou... Elle me parait familière, comme si je l'avait déjà vus... Avant. Ensuite ce n'est peut être qu'une idée.

-Tu sais, il y a beaucoup de choses que l'humain n'arrive pas a expliquer et sûrement ne sera jamais capable de le faire. Donc pour le fais de connaître cette épée alors que c'est la première fois que tu l'as voit sûrement, cela ne m'étonne guère. Comme pour le fais que je vois les auras. Je comprend pas comment ni pourquoi, mais cela arrive, point-barre. Et Aïdo-kun, si tu pouvais éviter d'en parler de ce que je suis capable de voir... C'est que tu es la première personne a qui j'ai arrivée a l'avouer, je souhaiterais pas que cela s'ébruite...

Je rougis, évitant de le regarder. J'étais plus jeune que lui et j'étais plus étrange que lui, lui avec ses deux auras et ses yeux deux couleurs... Cela m'inquiétais même. Me prendrait-il pour un monstre, un youkai? Je le craignais, mais espérais aussi autrement. Bon sang, pour que j'aille même assez de confiance pour lui avouer mon don, il fallait vraiment que je sente que son aura pouvait être pure et bonne pour oser le dire. Même avec la partie plus sombre coincée a l'intérieur de lui, sa changerait rien. Je l'aiderais contre cela. Oui, ce serait mon but a partir de maintenant. De le protéger contre cet aura si noir et si sombre qui dormait en son corps.

Je regardais autour, tenant toujours l'épée en main avant de me décider de me l'acheter. Ma tante allait faire une syncope mais je m'en foutais pour l'instant. Tant pis, elle en ferait une et Aoko me parlerait plus pour quelques jours, mais je l'accepterais.

-Tant que je suis ici... Je vais acheter Akaïgiri!

Et comme je disais ses mots, j'entendis le tintement de la porte d'entrée sonnée, annonçant l'arrivée de quelqu'un.

Aïdo appréciait déjà beaucoup cette jeune fille, elle semblait pleine de vie bien qu'un peu trop surexcité, mais Aïdo avait prit l'habitude, il plaisait involontairement aux filles. Il ne cherchait pas à attirer les femmes à lui, il volait juste avoir des amis, en ce moment la recherche d'une femme n'était pas sa priorité, mais les choses voulaient qu'il soit séduisant apparemment. Enfoui dans les ténèbres de l'âme pure d'Aïdo, Ankan jubilait intérieurement, son heures allait bientôt sonner, il savait à présent que rien ne pourrait empêcher son inexorable retour à la vie, après tout, il serait dommage que l'un des plus immonde seigneur de guerre viennent à disparaître d'un seul coup, comme si de rien n'était, ça non Ankan ne comptait pas s'éclipser du monde vivant ainsi, il servait les dieux noirs même après la mort, il revenait de loin.

L4énergie de l'épée s'apaisa dans les mains de la jeune fille, Ankan compris qu'elle allait acheter l'épée, ceci ne plus guère à l'hérétique, qui s'était donné autrefois un mal fou à tuer son ancienne utilisatrice, il l'avait traqué pendant de nombreuse années avant de la tuer de ses propres mains, ou plutôt de sa lame haineuse du chaos qui réclamais du sang pour honorer le plus grand ds dieux noirs, Korn le dieu du sang. Le regard noir d'Ankan se posa de manière spirituel sur Carlie, jubilant, son rire fit que son âme impie laisse exalter une certaine joie, mais une joie maléfique, la joie d'un homme corrompus qui désirait par dessus tout les faveurs de ses dieux noirs.

- Je te remercie, c'est très gentil de ta part. Certain n'aurait pas un seule instant compris de quoi tu parle avec cette histoire d'âme, mais moi, ayant vécu avec mon grand père depuis quelque temps. Je connais en partie toute ces choses différentes.

Il allât vers le comptoirs pour s'occuper de la vente due l'épée magique, quand soudain Kiango arriva enfin au magasin, Aïdo ne s’empêcher de laisser échapper.

- Et ben dit donc... C'est pas trop tôt. Tu en auras mis du temps encore une fois.


Kiango: Négociation, beaucoup de négociation. Tien, tien, une nouvelle cliente, une jeune petite demoiselle hein, je vois que vous avez fait la connaissance de mon petit fils Aïdo. Un beau jeune homme comme son grand père lorsqu'il était jeune.

- Et ben dit donc... C'est pas trop tôt. Tu en auras mis du temps encore une fois.

Kiango: Négociation, beaucoup de négociation. Tien, tien, une nouvelle cliente, une jeune petite demoiselle hein, je vois que vous avez fait la connaissance de mon petit fils Aïdo. Un beau jeune homme comme son grand père lorsqu'il était jeune.

- Justement, devrais-je m'en inquiéter ou pas? Non, sérieusement, ravie de vous rencontrer Kiango, je suis Carlie. Carlie Yumë. Brrrr... Fait pas chaud ici!

J'avais sentie un frisson me parcourir le dos de manière très peu naturelle, me dressant les cheveux sur la base du cou, m'inquiétant et mettant mes sens en alertes sur-le-champs. Après tout, c'était le même genre de frisson que j'obtenais quand je voyais des auras étranges, mais là, c'était pire encore. Je sentis aussi que l'aura noir, la double, avait fait l'effet d'une vague. Tien donc, il essayait de me faire peur et me passer un message? Désolé pépé, tu es mal barré!

*Garde a tes fesses toi... Je promet sur Akaïgiri que je serais la gardienne d'Aïdo... C'est mon devoir maintenant. Certes, il est plus vieux que moi, mais il semble ignorer totalement cette présence en lui... Alors je ferais tout ce qui es en mon pouvoir pour ne pas que ce truc sort et s'il sort... Je devrais m'en occuper!*

Je portais mon regard sur Kiango, le sentant me juger. Comme s'il avait sentit ma promesse. Mon nouveau but. Je considérais maintenant Aïdo comme un proche, même si je venais a peine de le rencontrer. Je n'avais pas put protéger ma famille des ennemis et ils étaient morts maintenant. Aïdo avait une ombre constante au dessus de sa tête, tel une épée de Damocles. Et jamais je ne le laisserais en danger maintenant, une fois mais pas deux. Je pouvais agir maintenant et c'est cela que je me promettais maintenant. Agir.

Mais je me concentrais sur autre chose. Après tout, si je portais trop d'attention sur cet ombre, il allait la sentir, d'une manière ou d'une autre. Comme une certitude qui fait mal.

- Kiango... Je m'interrogeais sur l'histoire de Akaïgiri. La connaîtriez-vous? Ah, et je me rappelle aussi avant d'être venue me chercher ce sabre, que je voulais des objets pour les capteurs d'auras! Je me demandais s'il existait tel objet pour sentir les auras ou du moins aider a décupler les effets...

*Ou même les faire disparaître totalement... Cela m'aiderais, en me donnant un peu de répit, mais... Cela serait-il vraiment utile? Je ne crois pas...*

Je portais attention a l'aura du vieil homme et ce que je sentis me surpris. Un aura très puissante, plus puissante que la normale et très pure, autant que sage. Une sorte de chaleur en sortait, comme pour séduire mais plus dans un sens de dévouement, de loyauté et calme pur. Le genre de sensation que les mortels sentiraient sans savoir d'où cela provenait. Et moi, cela m'intriguais. Pourquoi tant d'effort placé dans l'aura? Pour calmer l'autre? Ou pour autre chose?

Aïdo se remit au travail pendant que son grand père s'occupait de la cliente, Carlie avait gagné la sympathie d'Aïdo, elle était gentille et bien élevé contrairement à beaucoup de filles de cette génération qui parfois étaient aussi rustres qu'un homme des bas fonds. Aïdo était un homme bon de nature, doux et dénué de cruauté, bien qu'il soit habité par un hérétique lui intimant des choix malsain à élire, nourrissant sa force insane dédié au dieu noir. De son coté Kiango avait décidé de raconter l'histoire de l'épée... Ou plutôt de son ancienne utilisatrice, et de ses liens au terrible Ankan.

Kiango: Hum... Et bien Akaïgiri à appartenue à une femme guerrière de haut rang, à l'époque de l'ère impérial et Chaotiques. L'histoire dit qu'elle était une femme de toute beauté et que son Akaïgiri fut forgé dans un métal d'une raresse innégalé. Elle était toujours accompagné de son équipié, le lieutenant Ankan, ils étaient à la tête de la même division de l'empereur, chacun affrontant et repoussant les forces du chaos; certain disait qu'ils avaient une relation intimes, d'autres qu'ils étaient juste de très bon compagnon. Mais un jour tout s'est effondré, Ankan fut tué lors d'une bataille conter le chaos, unelance lui avait traversé le poitraille, la bataille était si violente et les impériaux si démoralisé qu'ils durent laisser la dépouille d'Ankan sur le terrain. Mais Ankan n'était pas vraiment mort, le sorcier l'amenna à son seigneur qui le sacrifia aux dieux noirs. Leycia, l'ancienne propriétaire d'Akaïgiri était démoralisé de sonc oté, son meilleur ami était mort des mains du chaos, sans qu'elle puisse ramener son corps, des funéraille de guerre furent cependant menné à bien, sa rage contre le chaos fut des plus grande. Un jours elle décida d'attaquer en force le chaos, elle convainc ses supérieur de laisser un général de l'empereur l'accompagner. La bataille était rude, elle finit par donner la mort au seigneur du chaos qui avait sacrifié son ami. Mais elle ne s'attendait... à voir Ankan réaparaiter pour sa plus grande joie, mais cette joie fut brève, elle fut choqué env oyant une armure du chaos sur son ancien ami qui était suivis d'une armé imposante d'homme du chaos et de démon des dieux noirs... Ankan avait corrompu par le chaos et ravivé pour mener une nouvelle armée dont il était le seigneur.

Pendant que Kiango parlait Aïdo continuait de travailler sans même écouter, alors qu'Ankan lui suivait la discution... Il s'agissait tout de même de son histoire.

Kiango: Leycia n'eu pas le courage de tuer son ancien compagnon, même si celui-ci venait de tuer le général de l'empire. Ce futune terrible erreur, elle avait fuit, après avoir blessé Ankan avec son épée. APrès cela Leycia vit de nombreuse fois des chaotique la chercher dans tout les village en scandant le nom d'Ankan devenu le seigneur hérétique. eLle fut pourchassé pendant fort longtemps par son ancien compagnon qui exigeait qu'on la lui amenne vivante. Un jours Leycia fut capturé par les soldat d'Ankan, ce fut ce même jours ou Ankan arracha le coeur de son ancienne meilleur amie pour s'abreuver de son sang... La suite de l'histoire dit qu'Ankan menna ses armée pendant plus de 4000 ans au combats victoire après victoire, mais trop peut de dossier sur Ankan furent préserver, comme l'empire avait pour habitude de bruler tout ce qui parlait d'hérésie. Pour ce qui est de la mort d'Ankan l'hérétique, je ne sais pas ce qui lui est arrivé, je peut juste dire... Qu'aujourd'hui il se targue dans l'âme d'un homme, et qu'il est... Scellé dans l'âme de mon petit fils, Aïdo est possédé par Ankan, j'èspère que vous saurez le protéger des fourberie de cet hérétique dont la cruauté n'égalait que sa beauté physique.

-Kiango: Pour ce qui est de la mort d'Ankan l'hérétique, je ne sais pas ce qui lui est arrivé, je peut juste dire... Qu'aujourd'hui il se targue dans l'âme d'un homme, et qu'il est... Scellé dans l'âme de mon petit fils, Aïdo est possédé par Ankan, j'èspère que vous saurez le protéger des fourberie de cet hérétique dont la cruauté n'égalait que sa beauté physique.

- Il l'ignore n'est-ce-pas?... Je ne peux pas vous le promettre, car j'ignore sa puissance et ses fourberies même si cette histoire en dit long, de plus du fait qu'un jour où l'autre, a la moindre faiblesse, au moindre doute d'Aïdo, Ankan prendra place. Mais je ferais tout mon possible pour contenir les dégâts et le ramener à la raison, quitte a le payer de ma vie, cela je peux vous le promettre Kiango. De plus, je suis sûre qu'Akaïgiri a plus d'un tour dans son sac, si elle m'a choisit... Car après tout, elle ne voudrait sûrement pas que son nouveau maître se fasse tuer de la même façon que son dernier possesseur. De plus, je viens peut-être de rencontrer votre petit-fils, mais je tiens a lui. Il me rappelle mon petit frère dans ses agissements ou dans ses sourires. Et je ne me permettrais pas de perdre une seconde fois quelqu'un de cher, surtout si aujourd'hui je suis capable d'empêcher cela.

Je fermais les yeux, essayant de m'imprégner de l'aura d'Aïdo et 'Ankan. En même temps. Je voulais arriver a les reconnaître, a les différencier. Pour arriver a le suivre, a le protéger, l'aider. Mais cela ne marchait pas. Je ne le connaissais pas encore depuis assez longtemps. Et puis, cette maîtrise ne se faisait pas en un claquement de doigt!

Je rouvris les yeux, réfléchissant quelques instants avant de demander:

- Il connait pas a propos du sceau sur son âme mais... Ce n'est pas encore plus risqué le fait qu'il en ignore l'existence au lieu d'en avoir conscience? Certes, cela risquerait de le stresser mais...

J'aimais pas le sentiment de lui mentir en lui disant rien. Comme Aoko avait fait avec moi en me le cachant, ce qui était réellement arrivé avec ma famille. Mais cela dépendait. Aoko me l'avait cachée pour supposément pas me rendre coupable, mais l'avoir ignorer et avoir rien put avoir fait pour coincer le coupable était encore plus pire a mes yeux. Par contre, ne pas lui dire pourrait peut-être aider... Mais il se sentirait plus coupable et sûrement trahit si je n'en l'informais pas... Super!

Je gémis doucement, murmurant sans savoir ma pensée:

- Marcus... Aide moi a faire le bon choix...

Aïdo arrangeait toujours le magasin et nettoyait d'un autre coté afin que Kiango n'ai pas à s'occuper de cette tâche lui même, car malgré sa forme éclatante, le vieil homme avait tout de même un grand âge à présent et il ne fallait pas en abuser, et puis de toute manière Aïdo portait un respect des plus grand envers son ancien qui s'occupait de lui depuis déjà quelques années à présent. De son coté Kiango, discutait toujours avec Carlie, il fallait qu'elle comprenne que son petit fils courait toujours un danger de taille, et qu'Ankan finirait par sortir un jour ou l'autre, et ce jour serait funeste, car rien que son aura n'était plus que de la cruauté et de la loyauté envers ses dieux cruels qui exigeait du sang, des âmes... Quitte à commettre les plus grandes immondices, tant que les dieux noirs était satisfait Ankan continuerai de faire couler le sang en leur nom.

Kiango: Je me doute bien que vous soyez prêtes à l'aider, je l'ai sentit en arrivant. Mais je vous demanderais de faire très attention, je ressens l'âme et son taux de noirceur... Il est le mal incarné, mais il est loyal envers ses dieux noirs, ceux-ci veillent toujours sur notre monde, car ils en sont les créateurs de base. Les dieux du chaos ont créé la terre à partir des matières chaotiques, et ont tenté plusieurs forme de vie pour qu'elle s'entre-tue, leur plus grande œuvre fut finalement la race humaine, ils créèrent ensuite les démons, par servir les hommes qui servirait le chaos, tandis que d'autres allaient vénérer un dieu inexistant plein de bonté et de miséricorde. La conclusion en est que les force du chaos, était dans le vrais, la seule véritable religion s'est éteinte, et s'était celle des hommes du chaos, qui ne connaissait que la cruauté, et vendait leurs âmes afin d'acquérir plus de pouvoirs, une bien triste réalité, qu'il vaut mieux garder secret, de toute façon personne n'accepterais une telle vérité. Mais revenons en à notre thème, faite attention, Ankan aurait déjà arrangé des centaines de villages afin de révolter les villageois du Catholysme impérial, dans le seul but de massacrer des indien qui refusait de croire en la puissance des dieux noirs. Méfiez-vous, s'il vous arrivait du mal en voulant protéger mon petit Aïdo, je ne saurais me pardonner.

Kiango était aussi pur que le cristal, et de cela, Aïdo en avait hérité, car en effet il avait un sourire sincère et plein de gentillesse, il était prêt à tout pour aider son prochain, jamais le jeune homme n'avait regretté d'avoir aidé quelqu'un, même s'il n'était pas très net. Il s'agissait de sa nature, toujours prêt pour venir en aide à quelqu'un, malgré cela Ankan avait réussit à loger domicile en celui-ci, mais sa cruauté fut scellé pour une raison inconnue, lui qui avait pour but d'user de ce corps pour faire revivre l'armée du chaos, serviteur des dieux noirs.

Kiango: Vous êtes pleine d'entrain et de volonté... Mais il vous manque quelque chose, vous manquez cruellement de puissance spirituel et purificatrice. Ankan est peu être affaibli aujourd'hui, il sera bien moins puissant qu'il ne le fut autrefois, mais il reste doté d'une grande puissance chaotique, à peine il reviendra les dieux qu'il vénère le sentirons, et je crains qu'il ne soit le seigneur d'une prophétie, qui assume que dans un futur proche... Ou lointain il finirait par qui sait? Raviver la puissance du chaos.

(Hj: J'espère que mes rps sont pas trop chiant la XD)

[HJ:Non mais... Surtout que Kiango a pas répondu à la question: Est-ce-que je dois lui dire ou pas?!? XD]

- Pas étonnant que je manque la puissance purificatrice... J'ai dans mes ancêtres des mikos, donc cela coule de source que j'aille des pouvoirs, mais le sang est trop dilué pour que cela en vaille vraiment la peine... Par contre, je présume, Kiango, que vous avez réponse a cette question. Parmi tout les objets que vous avez ici, je crois bien qu'il devrait y avoir quelque chose qui devrait... faire l'affaire, non? Un sceau, un entrainement, je sais pas moi! Même la formule magique ''Abracadabra'' dans cette situation, si elle fonctionnerais, je la prendrais!

Je tourna mon regard vers Aïdo et senti mon coeur se serrer à la vue de sa double aura. Si unique, si belle, si envoutante dans tout les sens du terme et pourtant, qui pouvait être si mortelle, si sournoise... Je le savais bien qu'Aïdo n'était pas un meurtrier, un assassin. Et je le prouverais. De plus, si Ankan le possédait, même s'il se retrouverait en difficulté, je savais que je l'aiderais. J'avais presque l'impression d'avoir une chaîne au cou en cet instant et que c'était lui qui tenait le bout de celle-ci. Mais je savais aussi que c'était volontaire de ma part.

Je me mettais même a voir les vagues dans son aura, s'il était un peu plus calme ou pas au fils de ses pensées. Certes, je les connaissais pas, mais cela pouvait me donner une idée de quoi il pensait... Si je le connaissais mieux.

Décidant a me détacher les yeux de sur ce qui allait devenir comme mon protéger, je me tourna vers Kiango. Il m'avait raconté énormément de choses, mais je sentais que ce n'était pas tout. Certes, c'était peut-être tout a propos d'Ankan, mais certainement pas tout ce que je devais savoir pour la suite des choses.

- Il y a-t-il quelque chose d'autre que je devrais savoir, Kiango?

Aïdo montait les objet dans les étagères, il plaçait chaque objet soigneusement afin qu'il ne risque pas de tomber et pour éviter de briser les plus fragile même, le jeune porteur d'Ankan avait des mains habile, des mains encore propre, mais combien de temps allait elle rester propres? Ankan avait des projets particulièrement macabre, une fois libre il userait de ses donts pour tuer et raviver le culte du chaos, malgré ses pouvoir diminué il restait surement un danger de taille, capable de rouvrir ls portail vers le monde des dieux du chaos qui deverseraient leurs horribles démon maléfique, mais il fallait d'abord récupérer asser de pouvoir, ce qui serait assez long vus la puissance qui a disparu du corps d'Ankan, son aura invisible à Aïdo, ressemblait à une grande ombre pourpre aux yeux rouge qui fixait Carlie et Kiango avec fureure, encore à l'état d'èsprit enfermé, il pronça des mots qui résonnèrent comme du charabia.

Kiango posa un regard désaprobateur vers l'âme qu'il pouvait voir, il put entendre le rire d'Ankan, Kiango devait sel 'avouer, l'hérétique pouvait bien se moquer de lui, il était bien plus fort que ce vieil homme même s'il était encore en forme malgré son âge, Kiango avait certes apprit les art martiaux très jeune, mais Ankan il fallait l'avouer avait eu plusieurs millénaire de guerre derrière lui, les dieux noirs lui ayant octroyé une jeunesse éternelle, le jeune hérétique garda son beau visage jusqu'à sa mort, tué par ses maître pour une défaite impardonnable, un prince démon l'envoya dans les limbes, mais les dieux du chaos avait décidé que celui-ci n'irait dans aucun lieu de punition, ils le gardèrent dans le monde matériel et le laissèrent errer adns le cas ou ils auraient besoin de lui. Kiango glissa à l'oreille de Carlie.

- Ne lui dite encore... Il aura le temps d'apprendre ça lui même, assurez vous juste de réduire autant que possible ses choix vers la corruption, Ankan aura de nombreuse occasion de le tenter avec des désir de plus en plus malsain. Ne le laissez pas sombrer dans la folie, il ne doit pas devenir votre ennemis. Ankan étant un serviteur des dieux noirs, il faut préserver son âme parmit les vivants et l'enfermer le plus longtemps que nous pouvons, s'il est tué de nouveau les dieux noirs le renverront de nouveau parmit nous afin qu'il accomplisse sa mission... ankan, ne doit pas se rematérialisé.

(Hj: Dsl du temps d'attente et du rps minable, manque d'inspiration)